dimanche 12 septembre 2010

Il faut y vivre pour s'en rendre compte...

J'arpente les rues mexicaines depuis déjà quelques semaines et les contrastes sociaux me choquent toujours autant. Aux périphéries, on trouve de grands quartiers résidentiels surveillés avec de grandes villas colorées, des jardins verdoyants... et quelques mètres plus loin, des petites "maisons" collées les unes aux autres avec des toits en tôles, des câbles électriques qui jaillissent de partout, des enfants faisant la manche sur les trottoirs. Certains attendent patiemment au milieu de la route qu'un véhicule passe afin de liquider leur stock de pains, de chewing-gum. D'autres se précipitent sur votre pare-brise pour le nettoyer. Chaque occasion est bonne à saisir pour gagner quelques pesos. Ces images quotidiennes sont marquantes. On a l'impression d'avoir changé de régions, pourtant on est toujours dans la même ville.

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